Depuis son redémarrage réussi en 2022, la série phare de WWE 2K n'a cessé de peaufiner sa formule grâce à des mises à jour itératives, améliorant non seulement son gameplay gagnant mais justifiant aussi les sorties annuelles. WWE 2K25 introduit de nouvelles innovations, notamment The Island, un monde en ligne interactif, ainsi que des modes Story, General Manager et Universe revus, sans oublier le nouveau type de match hardcore Bloodline Rules. Malheureusement, ces ajouts n'étaient pas disponibles lors de ma session de prévisualisation, laissant leur impact potentiel incertain.
Au lieu de tester les changements majeurs, mon temps s'est concentré sur le gameplay de base raffiné de WWE 2K25 et son mode Showcase axé sur la Bloodline. Bien que je n'aie pas pu explorer les fonctionnalités principales de cette année, des ajustements subtils mais significatifs laissent présager une autre réalisation soignée que les fans de catch ne voudront pas manquer.
Le mode Showcase de WWE 2K25 célèbre la dynastie du catch des Anoa'i, mettant en lumière Roman Reigns et la Bloodline aux côtés de légendes comme The Rock et Yokozuna. Il s'étend avec trois variantes de match : rejouer l'histoire, créer des affrontements de rêve et, le plus intrigant, rewriter des moments emblématiques. J'ai testé les trois : revivre la victoire de Nia Jax au Queen of the Ring 2024, simuler The Wild Samoans contre The Dudley Boyz, et modifier le sort de Roman Reigns face à Seth Rollins au Royal Rumble 2022. Chacun a offert un plaisir distinct, bien que des défauts persistent.
Contrairement aux éditions précédentesencombrées de longues séquences vidéo réelles (baptisées "Slingshot"), WWE 2K25 rationalise les reconstitutions historiques en utilisant des animations générées par le moteur, réduisant les interruptions tout en préservant l'immersion. Les séquences semblent plus vives, bien que le contrôle glisse encore occasionnellement lors des moments culminants (comme le tombé de Nia Jax), ce qui pourrait frustrer les joueurs désireux d'avoir un contrôle total.
Les objectifs guidés par liste de ce mode font leur retour, améliorés par des défis chronométrés optionnels. Les réussir débloque des éléments cosmétiques, mais contrairement aux anciens jeux, l'échec n'entraîne aucune pénalité, un ajustement bienvenu pour la qualité de vie. L'ajout le plus marquant ? Réécrire l'histoire : réimaginer la défaite par disqualification de Reigns en une victoire offre de nouvelles sensations pour les fans de longue date.
Captures d'écran de WWE 2K25


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Le gameplay de base reste rassurant de familiarité, bien que WWE 2K25 ravive deux mécaniques demandées par les fans : le chain wrestling, un mini-jeu stratégique de pré-match, et le système de soumission par correspondance de couleurs (tous deux pouvant être activés/désactivés). Le lancer d'armes fait également son retour avec des arènes backstage étendues, incluant un ring WWE Archives bourré de nostalgie et d'easter eggs.
Des sponsors comme Prime Hydration Station envahissent inévitablement le ring, mais bon, utiliser les bouteilles de boisson néon de Logan Paul comme armes justifie presque leur présence. Le vrai changement ? Autoriser enfin les matches intergenres après des années de demandes des fans, couplé à un roster record de plus de 300 catcheurs permettant des affrontements de rêve.
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Un point fort inattendu ? Underground, un type de match sans cordes, inspiré de Fight Club, avec des lumberjacks, promet un chaos rafraîchissant (restez à l'écoute pour l'analyse approfondie d'IGN plus tard ce mois-ci). Bien que WWE 2K25 itère plus qu'il n'innove, ses améliorations intelligentes consolident sa place en tant que jeu incontournable pour les passionnés de catch, à condition que les modes non vus comme The Island tiennent leurs promesses.